Le GRENIER des MOTS-REFLETS – Vol.I

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2007 09 29

Timéo – Raisin de ma colère

Classé sous A l'ecoute de ... — ganeshabreizh @ 0:00

 L'angelot, le petit ange

 

http://www.dailymotion.com/video/x3w77s

 

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Il existe un blog où vous pouvez soutenir des familles dont les enfants supportent les cancers et les maladies orphelines, encore aussi toutes les détresses des familles et des enfant face certaines  injustices.

 

http://ptitepomme668.skyrock.com

 

Vous pourrez y laisser un peu de chaleur poétique ou non, pour ces p’tits bout’choux et leurs familles.

 

Ange et sa Féerie angélique

2007 09 26

Ange des nuages

Classé sous Photos + — ganeshabreizh @ 18:49

Ange des nuages

2007 09 21

A u présent, je croise ton regard posthume, Isabelle (Acrostiche)

Classé sous POESIE — ganeshabreizh @ 18:38

 

 

Isabelle la très belle 

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I l est un plein de ciel habité par ton âme.

S ourd l’apaisement bleu de ton dernier regard.

A lors que se gomment aux rides les inversés du temps,

B ien des feux sont non renés d’une écoute assassine,

 E xpiration voulue de tout ce qui dérange,

L a main que tu tendais à tout esprit ouvert

L imitait humblement tous nos illimités.

 E xiste encore, où que tu sois, qui que tu sois!

 

*

(A ma fille)

 

yannesoganesh

2007 09 14

Un Monde merveilleux chanté par Ash Alvez – 3’18 [les paroles(lyrics) figurent sur la vidéo]

Classé sous A l'ecoute de ... — ganeshabreizh @ 13:09

 

 

http://www.dailymotion.com/video/3xk5ImDyV2QTokVMq

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Ash Alvez

 

Vous pouvez faire sa  connaissance ici :

http://ashalvez.hitmuse.com/

2007 09 13

De Cœur-Âme à Cœur-Âme ou Dialogue entre le Soi et l’Ego (A l’écho du poème de Cinderell’ « Au bout du chemin… »)

Classé sous POESIE — ganeshabreizh @ 17:11

La lumière brille pour toi

Si vous souhaitez lire son poème  « Au bout du chemin » voici le lien:

http://auxmotspassant.boardsmessage.com/Poemes-f1/Au-bout-du-chemin-t428.htm

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Alors que je lisais, je me suis arrêté, avec une voix intérieure ressentie, comme interpellé du coin de l’antérieur.
L’émotion vécue en participation est si forte !
Si l’on prend la mesure  des ces pas lents, que toi Poétesse tu nous fais  accomplir sur une trace pénétrante, dans les vers ainsi conçus qu’ils accompagnent notre « résonnance » en s’attendant l’un l’autre.
Alors, je recommence pour trouver la vibration qui me permet de suivre et de communier à cette écharpe de rosée vivante et consciente, et profonde.
J’aurai voulu m’arrêter là … sur le dernier vers « Unis à jamais pour la plus longue nuit… »  et ses points de suspension  qui laissent à l’esprit la main qui se tend pour qu’on la prenne avant que de trébucher sur un point dit final.
Alors je recommence, pour chercher les « respirations » dans les soupirs induits, que j’ai du dépasser pour calmer le partage, ou pour le densifier.
Poésie vraiment si pure et si humaine qu’elle initia en moi les mots qui suivent et que je t’offre :

 

Dialogue entre le Soi…et l’Ego

 

 

Le temps, notre vie ; l’espace, notre dimension ;
L’oubli en fruit de la mémoire occulte
Voient le sommeil acquis sans assoupissement.

Le balancier des consciences rythme tous nos silences,
Egrenant la vieillesse dans sa fraîcheur crispante,
Au cœur de l’Âme oméga se dessine.

Juste éclair des instants des années disparues avant que d’exister et n’étant pas encore,
Le geste de tendresse intime enclôt notre regard
Après que son soutien nous ait pris sous son aile.

« Être-non-Être » tu dois percevoir ce vivant,
Les signes précurseurs du passage ;
Ils valent pour les Deux un parallèle instant.

Les esprits suivent un chemin, les corps se transforment.
Voilà l’évolution ! Des doutes ressentis
La peine vaut son poids à l’écho de l’espoir.

Toute ride s’efface de la marée humaine
Alors qu’ « Amour-Confiant » nous livre à l’océan divin.
Nous pourrons cependant ployer pour ceux qui restent.

Un temps, juste un temps, nous ne sommes jamais seuls. 

yann(esoganesh)

2007 09 7

Vous voulez des êtres qui ont des racines et les chantent en plusieurs communions à force de ….Voici un Être du Gabon : Annie-Flore BATCHIELLILYS chantant moitié putu moitié français aux rythmes de la densité de son coeur – Je t’invite – 3’54 – Et dans : Six mois si moi sy mwa – 4’33 et enfin : Warisse – 4’30

Classé sous A l'ecoute de ... — ganeshabreizh @ 2:19

 

Annie-Flore Batchiellilys (Scène Gabonaise)

 

Annie Flore est une belle artiste, passionnée par la musique, les rencontres humaines et le partage. Elle est profondément à l’écoute des autres et de leurs univers

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Annie-Flore Batchiellilys est née à Tchibanga (Gabon). Figure incontestable de la scène live, elle a présenté en Afrique, Europe et Amérique du Nord, un répertoire dont elle est l’auteur compositeur, et dont le dynamisme prend sa source dans les rythmes du Gabon et du monde. Friande de rencontres musicales, elle a travaillé avec Ray Lema, Lokua Kanza, Carlo Rizzo, Cynthia Scott, Qui-Xia-He… Formée à l’école de la tradition, mais aussi très influencée par le jazz, Annie-Flore Batchiellilys a obtenu plusieurs prix dont celui du meilleur Espoir féminin aux Koras 2002 (Afrique du sud). Elle a aussi été nommée ambassadeur de bonne volonté de l’Unicef en 2005. Annie-Flore Batchiellilys a autoproduit trois albums et prépare pour janvier 2008 son premier Olympia.

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Annie Flore Batchiellilys _ 99

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Annie Flore Batchiellilys, l’une des figures emblématique de la musique gabonaise a donné un concert vendredi de juillet dans un hôtel de la place à Libreville avant son concert de janvier prochain à l’Olympia à Paris (France).

Annie Flore sera la deuxième artiste gabonaise à donner un concert live à l’Olympia après la diva de la musique gabonaise, Patience Dabany en 2003.

Annie Flore Batchiellilys, figure incontestable de la scène live, a fait ses premiers pas entre 1988 et 1990 au Carrefour des Arts créé par Pierre Claver Akendengué. Depuis 1997, Annie Flore a un riche répertoire dont elle est l’auteur compositeur, notamment « Afrique mon toit » (1997), « Diboty » (2002), « Je t’invite » (2004) et « Broute bien » (2006).

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2007 09 4

Farinelli, la voie d’une voix-énergie

Classé sous POESIE — ganeshabreizh @ 19:32

Farinelli

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Farinelli Farinelli, ou la voie d’une « voix-énergie »

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La crinière du feu de l’être,

Cette frange d’un fleuve insensé ;

Le flux et reflux combinés

Transmue le commun du mortel en lettres.

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Enfant de la maladie d’homme

Elle susurre au féminin

Ce que cèle le masculin.

L’équilibre est fleur économe.

*

Ainsi l’inconstant désir nu,

Suspens dévié au gré du su,

S’est plié en chant sécrété

Par le grain mouvant, grain de blé.

*

Tant d’hypothèses ont préconçues

Les réparties les plus connues !

Si peu de confiance ou conscience

Ignorent l’effet de la Présence.

*

Combien d’âmes ainsi sont nées

Evidement de marées ?

Pulsions hâtives ou réfléchies ?

Les êtres sont au goût d’ici !

*

Synergies, énergies voulues

Par les pores du Paraclet…

Imperceptibles mouvances crues…

Innocence d’univers prêt !

*

Mots pensées, verbe gracieux,

En générateur d’égrégore

L’humain galvaude tes corps,

Alors que réserve est voeux pieux.

*

Cette aura alors invisible,

Se nomme, se respire et s’entend,

Se voit, se saoule ; et se palpant

Elle dimensionne les possibles.

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Alors je suis !

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Farinelli

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yannesoganesh

 

2007 09 3

Frémissement

Classé sous POESIE — ganeshabreizh @ 14:16

Naissance ou renaissance en frémissement d'être - http://stockimg.free.fr/wallpaperlinks/img/friends_wall/rebirth_of_the_nymphes1024.jpg 

 

 

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Chambre de toile ébroue ses araignées du soir.

Le soleil se lève infiltrant ses recoins,

Imprègne les rideaux si empesés de nuit,

Juste transpercement de lumière sur l’ombre.

 

Le lit s’est réveillé pour l’occupant qui dort.

Au jardin les pigeons roucoulent leurs aubades.

La caresse des brumes s’empare des salades.

Point d’autre silence que celui de la vie.

 

En prisonnier conscient des rêves éveillés,

Le dormeur nu presse et réveille ses sens.

La paupière alourdie, l’œil est transfert d’iris.

La fraîcheur du matin se répand dans la veine en éveil.

 

Ainsi, Au début de la mort l’étreinte disparaît,

 De l’obscur pour l’aurore, du voyage au destin ;

Sur le pas de la vie s’éternue le réveil.

 

 

L’homme choisi sa part de destinée ;

Du libre arbitre l’être décide ses choix,

Et la raison émerge au premier baillement.

 

 

 

*

 

 

 

yannesoganesh

 

 

 

 

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