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Farinelli, ou la voie d’une « voix-énergie »
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La crinière du feu de l’être,
Cette frange d’un fleuve insensé ;
Le flux et reflux combinés
Transmue le commun du mortel en lettres.
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Enfant de la maladie d’homme
Elle susurre au féminin
Ce que cèle le masculin.
L’équilibre est fleur économe.
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Ainsi l’inconstant désir nu,
Suspens dévié au gré du su,
S’est plié en chant sécrété
Par le grain mouvant, grain de blé.
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Tant d’hypothèses ont préconçues
Les réparties les plus connues !
Si peu de confiance ou conscience
Ignorent l’effet de la Présence.
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Combien d’âmes ainsi sont nées
Evidement de marées ?
Pulsions hâtives ou réfléchies ?
Les êtres sont au goût d’ici !
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Synergies, énergies voulues
Par les pores du Paraclet…
Imperceptibles mouvances crues…
Innocence d’univers prêt !
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Mots pensées, verbe gracieux,
En générateur d’égrégore
L’humain galvaude tes corps,
Alors que réserve est voeux pieux.
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Cette aura alors invisible,
Se nomme, se respire et s’entend,
Se voit, se saoule ; et se palpant
Elle dimensionne les possibles.
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Alors je suis !
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yannesoganesh