Comment expliquer à ton âme
Ce que la musique classique réveille
Engendre et dissoud ?
Comment révéler l’expert
La puissance évocatrice
Des notes et des silences ?
Nécessité d’amalgame saisie
Y plonger en pacifique fait
Résonner le canal du laisser sourdre.
Se mettre en résonance ici du La
Rend parfait l’éducatrice de l’acidulé
On s’y repaît en transparence.
Ce que tu prends en vibrations
Tu le rends vivant quand
La jonction crée l’échange du reçu.
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En plus, ce que tu donnes à ton oreille
La musique l’éveille pour être
Au creux de la satisfaction de la conscience
Le bien être engendre l’ « évolu ».
Toute musique est
Parce que tout vibre
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La musique respire le son de l’âme
La musique sent en vibration du partage
Juste l’amour donné reflet d’amour perçu.
La « musiqu’tine » est l’amour inconnu
Celui qui se cache et se libère à la fois
Issu de du fait des filles nées.
Des blessures saignent encore en bémols
Autant de paroles tendre émises
Autant de restrictions en dièses.
La blanche tendresse apportée
Se heurte à la noire pensée du vécu
Les clés de la confiance se méfient
C’est en crochant toute interrogation
Que j’ai couché sur la portée du temps
La ronde des présents initiés de l’amour
Les tempos dans leurs allegros, leurs respirations
Soupirent un moment et libèrent la réticence
Les regards des enfants se posent sur l’intrus.
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En plus, ce que tu donnes à ton oreille
La musique l’éveille pour être
Au creux de la satisfaction de la conscience
Le bien être engendre l’ « évolu ».
Toute musique est
Parce que tout vibre
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De la résonance naît ainsi l’écho
Celui qui s’emplit des voix issues
De tant de cœur, de tant de cœur.
De l’esprit qui se crée doucement
A la lecture des regards qui partagent
L’enfance se lie à l’être qui survient
Les dons de chacun se fondent en famille
Attendant de l’un le « reconnu » de l’autre
Pas la reconnaissance, juste le « reconnu »
Les épreuves apparaissent lestées de leurs destins
Les reçues se heurtent aux vécues de tous et de chacun
L’expression libère les instincts même les mieux trempés
Les libres-arbitres aussi s’interrogent un peu
Il coulent allègrement sous le poids des « se-taire »
C’est le crescendo et le décrescendo qui libèrent la violence.
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En plus, ce que tu donnes à ton oreille
La musique l’éveille pour être
Au creux de la satisfaction de la conscience
Le bien être engendre l’ « évolu ».
Toute musique est
Parce que tout vibre
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Tu sais ce qui advint des fluctuations de nos êtres
Les conflits ont nourris les non-dits, et les « encore- voulus »
C’est de nos maintenant qu’ il s’agit de vivre.Et l’archet a vieilli de courir sur les cordes qui fuient
Les cordes sont ramollies de par l’archet qui n’a pas rebondit
Quand le corps se tendait, l’autre corps s’invalidait.
La résonance a fui alors!
L’esprit s’est réparti
Départi de sa conscience
Il a commencé a fuir la réalité.
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Adagio ma non troppo
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ganeshabreizh