Crépuscules
Crépuscules
Respirent les étoiles qui coursent la lune
Sous le tempo du vent transpirant dans les dunes…
Il y a bien la mer qui chasse la contrainte
De la nuit qui s’installe au moment de la plainte !
Dort la voûte céleste aux cris des goélands
Qui planent doucement sur les mots se couchant…
Il y a bien le chant de la muse à la femme
Qui creuse les sillons de ses rimes en flammes !
La musique intérieure s’inspire au revers
De la page du jour écornée, fait-divers
Du poète en esprit qui transpire ses ombres.
Et l’enfant s’éclipse sur la pointe des pieds
Il n’y a plus de sourire aux larmes estropiées…
Juste un peu de regret qui coule en la pénombre
ganeshabreizh